
le secteur participe fortement à l’économie nationale. Il s’offusque que sa corporation n’ait pas été impliquée ni de près, ni de loin par l’Etat du Sénégal à la politique d’exploitation du métal précieux. Il rappelle, par ailleurs, qu’au Sénégal, il n’existe pas d’organisme étatique officiel ou même privé, chargé de vendre l’or aux bijoutiers. Ainsi, exige-t-il au gouvernement du Sénégal, de céder aux bijoutiers du Sénégal, les 10% qu’il gagne, en nature, auprès des exploitants. Selon Moussa Niang, ces exploitants extraient et exportent des milliers de tonnes d’or brute. Il préconise la mise en place d’un Comptoir d’achat, accompagné par l’Etat, pour régler définitivement le problème. C’est l’une des conditions selon toujours le Président des bijoutiers pour arriver à un essor de la bijouterie. L’absence de source d’approvisionnement en or, cause de gros problèmes. Pour combattre le recel, qui est selon eux une conséquence de la rareté de la matière, ils préconisent la possibilité pour eux de demander et d’obtenir des financements auprés des banques pour satisfaire les grosses commandes et acheter le matériel lourd. Ainsi, l’Etat du Sénégal gagnerait-il en terme de création d’emplois, d’augmentation de volume d’exportation, conclut-il.
ANBS: Association nationale des bijoutiers du Sénégal
ta reson monsieur le presidant de anbs le gouverment doit agir pour notre probleme une bonne fois pour toute et cest le seul moins pour soutenir le milieu de la bijouterie
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