![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSsF_JSbJmerKF_RVXmsaUz-CIj_q7Eeo4guolsRUPg7tgzLdQ80gBZmx2q_7WfQFgdqdqEff-nXsbpJ67fXkOYSea_Hu9DzN2YpBLRC3mm4_6lU3mAogsEdl79UXSk7s5uTQpwhYB6HZQ/s320/idy.jpg)
C’est une véritable organisation qui est mise en branle selon les sources de renseignements qui précisent que tous les soirs des pick-up transportent des pneumatiques en provenance de Thiès, empruntent la voie de contournement de Rufisque et disposent ceux-ci dans des endroits ciblés afin de déclencher des incendies ci et là. Des moyens financiers seraient distribués à des propriétaires de scooters qui s’approvisionnent en carburant alimentant ainsi les incendiaires. Cette stratégie devrait commencer dans la nuit du 22 au 23 février et se prolonger au-delà du 26 février, et aurait comme objectif d’embraser le pays en ce moment où les observateurs, notamment le président Obasanjo, sont dans le pays, dans le but de le convaincre qu’une élection ne peut pas se tenir au Sénégal, et que le pays a sombré dans le chaos. Les sources de renseignement notent aussi que si le scrutin est malgré tout organisé, une frange de l’opposition s’appuiera sur sa majorité dans les bureaux de vote pour détruire les urnes et rendre le dépouillement impossible, voire même le vote. Vraie ou fausse, cette stratégie du pourrissement mettrait en danger la stabilité du pays. Alors vigilance et responsabilité devront être de mise.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire