« S’engager à réduire les prix des denrées de première nécessité est
une illusion ». C’est la conviction de Idrissa Seck, l’ancien Premier
ministre loin d’être convaincu de la promesse de Macky Sall de réduire
les prix des denrées de première nécessité. Pour le leader de Rewmi, il
faut privilégier la concertation avec les acteurs du secteur pour y
arriver. « Je sais ce que "wakhaaalé" (marchandage) veut dire, le prix
ne peut être dicté par l’Etat », a rectifié Idrissa Seck qui cite en
exemple son propre père, qui dit-il, fut un marchand ambulant au marché
Moussanté de Thiès.
« S’engager à réduire les prix des denrées de première nécessité est une illusion. « Il faut arrêter de raconter n’importe quoi aux populations », a fustigé le maire de Thiès dans un entretien au groupe Futurs Médias. Toutefois, s’il reconnaît des « acquis positifs » en faveur de la bonne gouvernance, notamment la traque des biens mal acquis, les audits, « il y a un certain nombre de taches urgentes à entreprendre. La vie coûte cher, l’emploi n’a pas décollé, l’électricité ». Pour Idrissa Seck, il convient de « créer des emplois en masse, ce qui ne peut se faire qu’avec le secteur privé ».
« S’engager à réduire les prix des denrées de première nécessité est une illusion. « Il faut arrêter de raconter n’importe quoi aux populations », a fustigé le maire de Thiès dans un entretien au groupe Futurs Médias. Toutefois, s’il reconnaît des « acquis positifs » en faveur de la bonne gouvernance, notamment la traque des biens mal acquis, les audits, « il y a un certain nombre de taches urgentes à entreprendre. La vie coûte cher, l’emploi n’a pas décollé, l’électricité ». Pour Idrissa Seck, il convient de « créer des emplois en masse, ce qui ne peut se faire qu’avec le secteur privé ».
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